Au printemps 68, il régnait plus qu’une atmosphère de lutte, qu’un goût de révolte. Chacun, ouvrier, étudiant, lycéen, pouvait s’imprégner de cette même sensation de pouvoir tout changer. Détruire pour reconstruire, guérir ce malaise qui envahissait la jeunesse scolarisée et repenser un système, (…)