ALORS QUE JE PROMETTAIS à Daniel Guérin, auprès du lit où il allait bientôt mourir, que nous ferions tout pour que son apport à la compréhension de la Révolution française ne soit pas étouffé sous les édredons du « Bicentenaire », il me dit : « Mon bicentenaire, à moi, ce n’est pas 89, c’est 93. (…)