100 jours après sa prise de fonctions, le bilan d’Evo Morales n’apparaissait pas très engageant. En trois mois, sa côte de popularité était passée de 80% à 60%. Recul justifié si l’on considère son refus d’augmenter les salaires comme promis pendant la campagne électorale, la répression brutale (…)