Les attentats terroristes servent les intérêts mutuels de l’État policier néolibéral et des forces réactionnaires fascisantes, et créent le risque d’une paralysie désespérante de la lutte sociale.
« C’est arrivé ». Beaucoup d’habitant.e.s de Bruxelles ont connu ce sentiment le 22 mars, quand (…)