La publication, par les éditions Verdier, d’un livre de Didier Daeninckx, Le Goût de la vérité, prétendant démasquer Gilles Perrault comme une « figure de la dissimulation » et insinuant qu’il pourrait « être d’accord » avec l’’ultragauche négationniste, appelle de notre part trois remarques. (…)