Après le résultat désastreux de sa liste « d’ouverture » aux élections européennes, le PCF a semblé frappé d’hébétude. Les causes évoquées étaient externes : Kosovo, « effet dioxine ». C’était court, et ce fut tout. Un long silence des dirigeants succéda, qui, pour l’essentiel, dure toujours. (…)